Indications géographiques: l’agroalimentaire mise sur l’assurance-qualité
(Cameroon Tribune) Les filières agro-industrielles sontincontournables dans le
processus du développement et de croissance d’un pays. Les produits qui
en sont issus constituent par ailleurs un pan essentieldans
l’accompagnement de la filière et peuvent engendrer de nombreuses
retombées à l’exportation.
Mais, ce n’est pas très souvent le cas en raison de leur qualité pas souvent assez bonne. Pourtant dans ce domaine la qualité des produits doit d’une importance capitale,
surtout pour les pays d’Afrique-Sub-Saharienne.
Ceci dans la mesure où ils doivent disposer d’une valeur pour conquérir des parts de marchés à l’international. Et pour y parvenir, il faut des produits qui répondent aux normes standards de qualité et de certification. C’est pour sensibiliser le public qu’une conférence-débat a été organisée à l’Agence française de développement (AFD) à Yaoundé mardi dernier.
Avec pour thème : « Les filières agro-alimentaires, qualité et développement : quel rôle pour les indications géographiques (IG)? ». Il s’agissait de faire comprendre aux invités, l’importance de retracer l’origine d’un produit et de faire savoir comment faciliter leur identification, leur protection. Car leur IG, donne une assurancequalité aux produits.
Selon Christian Yoka, directeur régional de l’AFD et Pierre Kam, président de l’Association des anciens stagiaires, séminaristes, auditeurs camerounais-Centre d’études financières économiques et bancaires (Assac-Cefeb) coorganisateurs de cette rencontre, il est question de tirer profit de la richesse et diversité des productions agricoles et de voir comment faire pour mieux rémunérer les producteurs. Pierre Kam a par ailleurs ajouté que la présence toujours massive des participants à ces rencontres périodiques d'échanges est le gage de la pertinence des thèmes choisis.
Gaëlle Balineau, économiste chargée de mission à la division Recherche et développement à l’AFD-Paris a ainsi fait une présentation s’appuyant sur les études de cas du Miel d’Oku et du poivre blanc de Penja. Selon l’experte, le but visé est d’analyser le rôle potentiel des indications géographiques pour la qualité des filières agro-alimentaires et le développement.
Elle a indiqué également que le pays présente une économie diversifiée, avec un grand atout pour ce qui est du domaine agro-alimentaire sauf qu’il peine à profiter complètement de son potentiel.
Mais, ce n’est pas très souvent le cas en raison de leur qualité pas souvent assez bonne. Pourtant dans ce domaine la qualité des produits doit d’une importance capitale,
surtout pour les pays d’Afrique-Sub-Saharienne.
Ceci dans la mesure où ils doivent disposer d’une valeur pour conquérir des parts de marchés à l’international. Et pour y parvenir, il faut des produits qui répondent aux normes standards de qualité et de certification. C’est pour sensibiliser le public qu’une conférence-débat a été organisée à l’Agence française de développement (AFD) à Yaoundé mardi dernier.
Avec pour thème : « Les filières agro-alimentaires, qualité et développement : quel rôle pour les indications géographiques (IG)? ». Il s’agissait de faire comprendre aux invités, l’importance de retracer l’origine d’un produit et de faire savoir comment faciliter leur identification, leur protection. Car leur IG, donne une assurancequalité aux produits.
Selon Christian Yoka, directeur régional de l’AFD et Pierre Kam, président de l’Association des anciens stagiaires, séminaristes, auditeurs camerounais-Centre d’études financières économiques et bancaires (Assac-Cefeb) coorganisateurs de cette rencontre, il est question de tirer profit de la richesse et diversité des productions agricoles et de voir comment faire pour mieux rémunérer les producteurs. Pierre Kam a par ailleurs ajouté que la présence toujours massive des participants à ces rencontres périodiques d'échanges est le gage de la pertinence des thèmes choisis.
Gaëlle Balineau, économiste chargée de mission à la division Recherche et développement à l’AFD-Paris a ainsi fait une présentation s’appuyant sur les études de cas du Miel d’Oku et du poivre blanc de Penja. Selon l’experte, le but visé est d’analyser le rôle potentiel des indications géographiques pour la qualité des filières agro-alimentaires et le développement.
Elle a indiqué également que le pays présente une économie diversifiée, avec un grand atout pour ce qui est du domaine agro-alimentaire sauf qu’il peine à profiter complètement de son potentiel.
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