Entreprendre : mode d’emploi
Une conférence sur les enjeux et défis de l’autoemploi donnée à l’Essec ce 18 avril.
(Cameroon Tribune) Dans le cadre des journées promotionnelles de l’Essec tenues du 18 au 21 avril dernier à l’université de Douala, Bernard Fongang, chef d’entreprises, a donné une conférence sur les « Enjeux et défis de l’auto-emploi des jeunes après les études ». Il était question pour l’orateur, ancien étudiant, ancien fonctionnaire ayant à un moment donné choisi de se mettre à son compte, de donner des ficelles aux cadets. Un canevas élaboré à partir
de sa propre expérience, à la fois d’entrepreneur et d’enseignant.
Entre autres choses à savoir d’emblée, les jeunes présents à la conférence ont appris que la marche vers l’entreprise exige patience et courage. « Je ne me suis jamais découragé (…). Travaillez, et avec une petite dose de chance, vous réussirez », leur a confié Bernard Fongang.
Mais le jeune diplômé de l’université camerounaise qui compte entreprendre doit aussi faire preuve de beaucoup de discipline. Par exemple en s’imposant de respecter trois étapes préalables : l’idée d’entrepreneuriat, les études préalables à l’entrepreneuriat et la concrétisation du projet d’entreprise.
Mise en garde tout de même : « Il ne suffit pas pour le futur créateur d’entreprise d’avoir une idée lumineuse. Il doit s’assurer qu’il a des qualités d’entrepreneur. » Ce qui peut aller de l’endurance physique au sérieux, en passant par la détermination, la motivation, et aussi l’amour pour ce qu’on veut faire.
Autres ficelles : développer sa capacité d’écoute et de communication (avec les clients, les associés, etc.), avoir le sens de la délégation, une aptitude à diriger, et se cultiver dans son domaine d’investissement. « Il faut oser, le chef de l’Etat l’a dit. Tout est question de volonté, de détermination et de persévérance », a conclu le conférencier.
(Cameroon Tribune) Dans le cadre des journées promotionnelles de l’Essec tenues du 18 au 21 avril dernier à l’université de Douala, Bernard Fongang, chef d’entreprises, a donné une conférence sur les « Enjeux et défis de l’auto-emploi des jeunes après les études ». Il était question pour l’orateur, ancien étudiant, ancien fonctionnaire ayant à un moment donné choisi de se mettre à son compte, de donner des ficelles aux cadets. Un canevas élaboré à partir
de sa propre expérience, à la fois d’entrepreneur et d’enseignant.
Entre autres choses à savoir d’emblée, les jeunes présents à la conférence ont appris que la marche vers l’entreprise exige patience et courage. « Je ne me suis jamais découragé (…). Travaillez, et avec une petite dose de chance, vous réussirez », leur a confié Bernard Fongang.
Mais le jeune diplômé de l’université camerounaise qui compte entreprendre doit aussi faire preuve de beaucoup de discipline. Par exemple en s’imposant de respecter trois étapes préalables : l’idée d’entrepreneuriat, les études préalables à l’entrepreneuriat et la concrétisation du projet d’entreprise.
Mise en garde tout de même : « Il ne suffit pas pour le futur créateur d’entreprise d’avoir une idée lumineuse. Il doit s’assurer qu’il a des qualités d’entrepreneur. » Ce qui peut aller de l’endurance physique au sérieux, en passant par la détermination, la motivation, et aussi l’amour pour ce qu’on veut faire.
Autres ficelles : développer sa capacité d’écoute et de communication (avec les clients, les associés, etc.), avoir le sens de la délégation, une aptitude à diriger, et se cultiver dans son domaine d’investissement. « Il faut oser, le chef de l’Etat l’a dit. Tout est question de volonté, de détermination et de persévérance », a conclu le conférencier.
Commentaires
Enregistrer un commentaire