Climat des affaires en Afrique: un potentiel à transformer
(Cameroon Tribune) Les faits
Entrepreneurs et investisseurs étaient réunis la semaine dernière à Yaoundé, dans le cadre d’une conférence internationale.
Churchill Nanje Mambe est un jeune entrepreneur camerounais. Il est le fondateur de Njorku, la plateforme qui permet de rechercher un emploi en Afrique parmi des millions d’offres. Trois ans après sa mise en ligne, Njorku a été sélectionnée par le magazine Forbes pour figurer parmi les meilleures 20 startup d’Afrique.
Aujourd’hui, le site compte plus de 200 000
visiteurs par mois et des clients comme le groupe Dangote. Malgré la notoriété que connaît Njorku, le jeune entrepreneur a pris la peine de parcourir les 304 kilomètres reliant Buea, sa ville de résidence, à Yaoundé. Comme lui, ils sont nombreux à avoir fait le déplacement des différents coins du globe terrestre pour prendre part à cette conférence qui s’est tenue du 29 au 30 mars à Yaoundé.
Cette conférence avait pour objectif de mettre en relation les entrepreneurs et les investisseurs dans le but d’améliorer leur parcours en tant qu'entrepreneurs et collecteurs de fonds, mobiliser des ressources pour le continent africain, construire un écosystème entrepreneurial en Afrique, proposer des solutions sur des questions clés ayant un impact direct sur les entreprises et mettre sur pied un réseau d'investissement pour l'Afrique et pour le Cameroun.
« Au cours des dernières années, j'ai beaucoup travaillé avec des entrepreneurs et des investisseurs à travers le monde et je me suis rendu compte que les investisseurs sont intéressés par le marché africain et qu'en même temps, les startup en Afrique ont besoin de capital pour le démarrage de leurs activités », explique Natalie Nkembuh, l’organisatrice de la conférence.
Au cours de cette conférence qui a duré deux jours, les participants ont été édifiés sur la nécessité d’étudier le marché, la spécialisation et la pérennité de leurs produits. Selon les membres du panel, les « startupeurs » devraient prendre le temps de mâturer leurs projets et d’étudier le marché avant de se lancer.
Au vu des difficultés que rencontrent les startup au moment de leur lancement, Natalie Nkembuh propose trois solutions. Premièrement, une application qui renseigne sur les dispositions légales mises en place au Cameroun.
Ensuite la publication « Evolve Business Magazine », un recueil d’interviews d’experts et d’entrepreneurs expérimentés et le livre « Briser la règle des 90% d'échec de démarrage », pour accompagner les jeunes entrepreneurs .
Entrepreneurs et investisseurs étaient réunis la semaine dernière à Yaoundé, dans le cadre d’une conférence internationale.
Churchill Nanje Mambe est un jeune entrepreneur camerounais. Il est le fondateur de Njorku, la plateforme qui permet de rechercher un emploi en Afrique parmi des millions d’offres. Trois ans après sa mise en ligne, Njorku a été sélectionnée par le magazine Forbes pour figurer parmi les meilleures 20 startup d’Afrique.
Aujourd’hui, le site compte plus de 200 000
visiteurs par mois et des clients comme le groupe Dangote. Malgré la notoriété que connaît Njorku, le jeune entrepreneur a pris la peine de parcourir les 304 kilomètres reliant Buea, sa ville de résidence, à Yaoundé. Comme lui, ils sont nombreux à avoir fait le déplacement des différents coins du globe terrestre pour prendre part à cette conférence qui s’est tenue du 29 au 30 mars à Yaoundé.
Cette conférence avait pour objectif de mettre en relation les entrepreneurs et les investisseurs dans le but d’améliorer leur parcours en tant qu'entrepreneurs et collecteurs de fonds, mobiliser des ressources pour le continent africain, construire un écosystème entrepreneurial en Afrique, proposer des solutions sur des questions clés ayant un impact direct sur les entreprises et mettre sur pied un réseau d'investissement pour l'Afrique et pour le Cameroun.
« Au cours des dernières années, j'ai beaucoup travaillé avec des entrepreneurs et des investisseurs à travers le monde et je me suis rendu compte que les investisseurs sont intéressés par le marché africain et qu'en même temps, les startup en Afrique ont besoin de capital pour le démarrage de leurs activités », explique Natalie Nkembuh, l’organisatrice de la conférence.
Au cours de cette conférence qui a duré deux jours, les participants ont été édifiés sur la nécessité d’étudier le marché, la spécialisation et la pérennité de leurs produits. Selon les membres du panel, les « startupeurs » devraient prendre le temps de mâturer leurs projets et d’étudier le marché avant de se lancer.
Au vu des difficultés que rencontrent les startup au moment de leur lancement, Natalie Nkembuh propose trois solutions. Premièrement, une application qui renseigne sur les dispositions légales mises en place au Cameroun.
Ensuite la publication « Evolve Business Magazine », un recueil d’interviews d’experts et d’entrepreneurs expérimentés et le livre « Briser la règle des 90% d'échec de démarrage », pour accompagner les jeunes entrepreneurs .
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