Paul Biya reçoit le président du Conseil des Etats de Suisse
Par MONDA BAKOA, 18-11-2013
« En forme et très chaleureux ». Appréciation de Filipo Lombardi,
président du Conseil des Etats de Suisse, parlant du président Paul Biya
qui l’a reçu en audience lundi en mi-journée au plais de l’Unité.
Face à la presse, l’hôte du chef de l’Etat a indiqué que les entretiens, qui ont duré un peu plus d’une heure d’horloge, ont porté sur trois centres d’intérêt : l’expérience du parlement bicaméral suisse, l’adéquation formation-emploi et la modernisation du Cameroun.
Parlement bicaméral : au moment où le Sénat vient d’entrer en scène dans la sphère législative aux côtés de l’Assemblée nationale, notre pays a grand intérêt à s’inspirer des pays où ces institutions fonctionnent harmonieusement. Aussi Filipo Lombardi a-t-il parlé à son hôte de l’expérience en la matière de la confédération helvétique. L’une des singularités dans ce pays, explique-t-il, se trouve en ce que les deux chambres du parlement sont managées par le même personnel administratif. Le parlementaire suisse déclare à cet égard que son pays serait disposé à accueillir une mission parlementaire susceptible de s’imprégner de ce système. Il juge du reste très positive le démarrage du Sénat.
Formation-emploi : Filipo Lombardi a parlé au chef de l’Etat du modèle de partenariat public-privé helvétique associant les formations académique et professionnelle, à travers une coopération dynamique entre les universités et le monde du travail, dans une adéquation formation-emploi. Cette bonne pratique se fonde dans un accompagnement qui facilite l’accès à l’emploi aux étudiants stagiaires au sein des entreprises où ces derniers ont effectué leur stage. Le résultat en est, selon l’hôte du chef de l’Etat, que la Suisse est l’un des pays au monde souffrant le moins du chômage de jeunes diplômés. Il affirme avoir apprécie à cet égard, le modèle de l’Ecole d’Agriculture d’Obala qui forme et place sur le terrain des jeunes dans une filière économique où existent effectivement des besoins en personnels.>>>
Face à la presse, l’hôte du chef de l’Etat a indiqué que les entretiens, qui ont duré un peu plus d’une heure d’horloge, ont porté sur trois centres d’intérêt : l’expérience du parlement bicaméral suisse, l’adéquation formation-emploi et la modernisation du Cameroun.
Parlement bicaméral : au moment où le Sénat vient d’entrer en scène dans la sphère législative aux côtés de l’Assemblée nationale, notre pays a grand intérêt à s’inspirer des pays où ces institutions fonctionnent harmonieusement. Aussi Filipo Lombardi a-t-il parlé à son hôte de l’expérience en la matière de la confédération helvétique. L’une des singularités dans ce pays, explique-t-il, se trouve en ce que les deux chambres du parlement sont managées par le même personnel administratif. Le parlementaire suisse déclare à cet égard que son pays serait disposé à accueillir une mission parlementaire susceptible de s’imprégner de ce système. Il juge du reste très positive le démarrage du Sénat.
Formation-emploi : Filipo Lombardi a parlé au chef de l’Etat du modèle de partenariat public-privé helvétique associant les formations académique et professionnelle, à travers une coopération dynamique entre les universités et le monde du travail, dans une adéquation formation-emploi. Cette bonne pratique se fonde dans un accompagnement qui facilite l’accès à l’emploi aux étudiants stagiaires au sein des entreprises où ces derniers ont effectué leur stage. Le résultat en est, selon l’hôte du chef de l’Etat, que la Suisse est l’un des pays au monde souffrant le moins du chômage de jeunes diplômés. Il affirme avoir apprécie à cet égard, le modèle de l’Ecole d’Agriculture d’Obala qui forme et place sur le terrain des jeunes dans une filière économique où existent effectivement des besoins en personnels.>>>
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