L’ordre des géomètres en quête de noblesse
Par Michèle FOGANG, Cameroon Tribune, 13-04-2014
Résolution annoncée à l’issue de l’assemblée générale, vendredi dernier à Yaoundé.
Sur plus de 500 géomètres que compte le Cameroun, seule une trentaine a répondu présent à l’assemblée générale de l’Ordre national des géomètres du Cameroun (Ogec) vendredi dernier. C’est dire tout le désintérêt des acteurs de ce secteur vis-à-vis de ce corps, porte étendard de la profession. Un malaise, qui s’ajoute aux problèmes d’accréditation, des bornages clandestins et de l’exercice illégal. Les assises de vendredi dernier ont permis aux participants de mettre en exergue les problèmes qui obstruent le fonctionnement de l’Ordre en même temps que la pratique du métier de géomètre, pour y trouver des solutions concrètes.
A l’ouverture, le secrétaire général du ministère de l’Habitat et du Développement urbain, Ahmadou Sardaounale, représentant du ministre a rappelé aux géomètres le rôle important qu’ils jouent dans l’habitat au Cameroun. C’est ainsi qu’il les a exhorté à mieux appréhender les défis de l’ordre pour améliorer le cadre de vie dans nos villes en proie à l’occupation anarchique des espaces. Il leur a également demandé de se pencher sur le problème de bornes et de sécurisation foncière. Le président de l’assemblée générale quant à lui, a demandé à ses confrères d’apporter leur contribution intellectuelle pour impulser une nouvelle dynamique à l’ordre.
Ces diverses exhortations ont constitué la ligne conductrice des échanges qui ont entre autres portés sur le nombre réduit de géomètre inscrit à L’Ogec, les difficultés quant à la perception de la notion de géomètre. Un exposé sur l’Ogec présenté par, l’avocat-conseil de l’ordre, a permis de revenir sur la loi relative à l’exercice de la profession de géomètre, son fonctionnement, son rôle et les modalité d’adhésion.>>>
Résolution annoncée à l’issue de l’assemblée générale, vendredi dernier à Yaoundé.
Sur plus de 500 géomètres que compte le Cameroun, seule une trentaine a répondu présent à l’assemblée générale de l’Ordre national des géomètres du Cameroun (Ogec) vendredi dernier. C’est dire tout le désintérêt des acteurs de ce secteur vis-à-vis de ce corps, porte étendard de la profession. Un malaise, qui s’ajoute aux problèmes d’accréditation, des bornages clandestins et de l’exercice illégal. Les assises de vendredi dernier ont permis aux participants de mettre en exergue les problèmes qui obstruent le fonctionnement de l’Ordre en même temps que la pratique du métier de géomètre, pour y trouver des solutions concrètes.
A l’ouverture, le secrétaire général du ministère de l’Habitat et du Développement urbain, Ahmadou Sardaounale, représentant du ministre a rappelé aux géomètres le rôle important qu’ils jouent dans l’habitat au Cameroun. C’est ainsi qu’il les a exhorté à mieux appréhender les défis de l’ordre pour améliorer le cadre de vie dans nos villes en proie à l’occupation anarchique des espaces. Il leur a également demandé de se pencher sur le problème de bornes et de sécurisation foncière. Le président de l’assemblée générale quant à lui, a demandé à ses confrères d’apporter leur contribution intellectuelle pour impulser une nouvelle dynamique à l’ordre.
Ces diverses exhortations ont constitué la ligne conductrice des échanges qui ont entre autres portés sur le nombre réduit de géomètre inscrit à L’Ogec, les difficultés quant à la perception de la notion de géomètre. Un exposé sur l’Ogec présenté par, l’avocat-conseil de l’ordre, a permis de revenir sur la loi relative à l’exercice de la profession de géomètre, son fonctionnement, son rôle et les modalité d’adhésion.>>>
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