Financement des clubs, la subvention, et après ?

Par Azize MBOHOU, Cameroon Tribune, 22-01-2014

Entre vente des parts, cotisations des membres et sponsoring, les responsables des clubs multiplient les stratégies.

Sérénité affichée au sein de Renaissance FC de Ngoumou. Le Club, société anonyme à objet sportif (Saos) depuis 2010, semble avoir la panacée au sujet de l’épineuse question de financement des équipes. « Nous avons une assemblée des actionnaires depuis 2010. Ceux-ci ont déjà renouvelé leur souscription. Chaque actionnaire a plusieurs parts dont la valeur est de 10.000 F.
A ce jour, je peux vous dire que notre capital est en augmentation », rassure Michel Dieudonné Abena, président du club. Par ailleurs, Renaissance FC de Ngoumou s’est lancé dans la recherche de sponsors. Le président indique d’ailleurs que « certaines sociétés parmi celles contactées ont déjà réagi positivement. » Au Tonnerre Kalara club (Tkc), l’on compte  sur la subvention de l’Etat, mais aussi sur le soutien des sponsors que le club est en train de chercher. « Pour le moment, nous ne parlons pas encore de nos sponsors, car ce serait leur faire de la publicité. Nous allons nous contenter de ce que l’Etat va mettre à notre disposition pour aller au front », a tranché Emile Onambélé Zibi, le PCA du Tkc. A ce sujet, les clubs passent à la caisse depuis vendredi. Grâce à un appui de l’Etat, chaque club de Ligue 1 perçoit 4,7 millions de F et 1,6 millions de F pour ceux de la Ligue 2.  Pour Célestine Ketcha Courtès, présidente d’honneur de Panthère de Bangangté, « Chacun doit d’abord compter sur ses propres moyens ». C’est pourquoi on compte sur la mobilisation financière des membres et autres supporters de Nzuimato>>>
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