Fin du premier «Africa Small and Medium Business Forum» : L’accès au crédit bancaire en question
Tenu sous le thème «Interconnecter et financer les PME pour l’emploi et la croissance inclusive en Afrique», le premier «Africa SMB Forum», rencontre internationale d’affaire, a pris fin hier.
Organisé
du 12 au 14 mars 2014 à Casablanca, l’Africa SMB ambitionne, à travers
des conférences, des tables rondes, des ateliers thématiques et des
rendez-vous B2B de s’ériger en tant que plateforme permanente d’échanges
à même de procurer aux opérateurs africains l’opportunité de négocier
des contrats d’affaires et nouer des alliances commerciales,
industrielles ou financières que ce soit, avec leurs homologues du
continent, ou avec ceux des pays émergents ou d’Occident.Et c’est
justement ce souci qui a été exprimé lors de l’ouverture officielle de
cet événement durant laquelle, des intervenants ont mis l’accent sur le
fait de trouver sur le continent africain les solutions de financement
et de développement conséquentes et pérennes.
D’autant plus que, de manière globale, le secteur privé représente environ 90% de l’emploi en Afrique et ce au moment ou seulement 20% des PME africaines ont la possibilité d’accéder au crédit bancaire.
Ce qui fait que, outre le souci d’améliorer le climat des affaires, de s’investir davantage dans la compétitivité, d’améliorer les infrastructures et de juguler l’informel, la finance continue toujours de compromettre les possibilités d’expansion des entreprises africaines.
A ce titre, le point de vue formulé par la Banque Africaine de Développement lors de cet événement réside dans le fait que, parallèlement aux leviers et instruments déjà existants, il serait souhaitable de penser à des solutions innovantes en termes d’investissement et d’accès aux crédits bancaires.
A ce niveau et lors de ce même événement, Le BMCE Bank, par la voie de l’Administrateur directeur général, Brahim Benjelloun-Touimi, vend ses compétences et se dit prête à syndiquer ses compétences transversales dans la Banque classique, à travers les multiples instruments de crédits (Crédits de trésorerie, d’équipement, Leasing ) au profit des PME, qui représentent un gisement inépuisé et inépuisable de créations d’emplois et de richesses.
Notant que cette première édition d’Africa Small & Medium Business, témoigne, certes d’une volonté panafricaine de «faire affaire ensemble», M. Benjelloun-Touimi a, néanmoins, insisté sur la responsabilité cruciale qui incombe aux pouvoirs publics «afin de relever les défis majeurs auxquels est confronté le continent africain, à savoir accélérer une croissance inclusive pour réduire les inégalités, éradiquer la pauvreté, accompagner les besoins des classes moyennes émergentes».
Et d’ajouter que seule une intégration régionale peut permettre de «mutualiser les moyens, de créer l’émulation politique nécessaire et susciter la contagion vertueuse qui aboutiraient à la consolidation de la sécurité et de la paix dans nos pays africains, la prévalence d’une bonne gouvernance et l’amélioration du climat des affaires».
Pour rappel, la plate-forme Africa SMB - Small and Medium-Sized Business - a été créée en septembre 2012 à Paris et dont l’objectif consiste à interconnecter les patrons de PME installés ou intéressés par les marchés d’Afrique.
D’autant plus que, de manière globale, le secteur privé représente environ 90% de l’emploi en Afrique et ce au moment ou seulement 20% des PME africaines ont la possibilité d’accéder au crédit bancaire.
Ce qui fait que, outre le souci d’améliorer le climat des affaires, de s’investir davantage dans la compétitivité, d’améliorer les infrastructures et de juguler l’informel, la finance continue toujours de compromettre les possibilités d’expansion des entreprises africaines.
A ce titre, le point de vue formulé par la Banque Africaine de Développement lors de cet événement réside dans le fait que, parallèlement aux leviers et instruments déjà existants, il serait souhaitable de penser à des solutions innovantes en termes d’investissement et d’accès aux crédits bancaires.
A ce niveau et lors de ce même événement, Le BMCE Bank, par la voie de l’Administrateur directeur général, Brahim Benjelloun-Touimi, vend ses compétences et se dit prête à syndiquer ses compétences transversales dans la Banque classique, à travers les multiples instruments de crédits (Crédits de trésorerie, d’équipement, Leasing ) au profit des PME, qui représentent un gisement inépuisé et inépuisable de créations d’emplois et de richesses.
Notant que cette première édition d’Africa Small & Medium Business, témoigne, certes d’une volonté panafricaine de «faire affaire ensemble», M. Benjelloun-Touimi a, néanmoins, insisté sur la responsabilité cruciale qui incombe aux pouvoirs publics «afin de relever les défis majeurs auxquels est confronté le continent africain, à savoir accélérer une croissance inclusive pour réduire les inégalités, éradiquer la pauvreté, accompagner les besoins des classes moyennes émergentes».
Et d’ajouter que seule une intégration régionale peut permettre de «mutualiser les moyens, de créer l’émulation politique nécessaire et susciter la contagion vertueuse qui aboutiraient à la consolidation de la sécurité et de la paix dans nos pays africains, la prévalence d’une bonne gouvernance et l’amélioration du climat des affaires».
Pour rappel, la plate-forme Africa SMB - Small and Medium-Sized Business - a été créée en septembre 2012 à Paris et dont l’objectif consiste à interconnecter les patrons de PME installés ou intéressés par les marchés d’Afrique.
Source: http://www.lopinion.ma/def.asp?codelangue=23&id_info=37677
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