Agriculture et élevage: des opportunités à saisir
Ces deux grands secteurs sont porteurs de richesses
et d’emplois et les occasions d’investissements sont nombreuses dans le
pays.
(Cameroon Tribune) Cacao, café, coton, banane, hévéa, palmier à huile, fruits divers, maïs, arachides, riz, pommes de terre, produits maraîchers… le Cameroun est une terre fertile où ces produits sont développés, à des fins de commercialisation, à l’intérieur ou à l’extérieur du pays,
à des fins de consommation locale ou à des fins de transformation. L’agriculture est d’ailleurs une activité que chaque Camerounais, d’une manière ou d’une autre pratique.
Mais sur le plan économique, selon les chiffres de l’Institut national de la Statistique (INS), l’agriculture a, au cours de l’année 2014, contribué pour 42% au produit intérieur brut du Cameroun.
Toujours d’après la même source, 57% de la population est rurale et l’agriculture occupe une place de choix dans une société tournée vers la consommation et pour laquelle elle emploie 70% de la population active. Des atouts suffisants pour en faire le secteur prioritaire de développement du pays.
Quant au secteur de l'élevage, il s'impose actuellement « comme une valeur sûre de l'économie camerounaise. Il participe ainsi pour près de 165 milliards de F à la formation du produit intérieur brut (PIB) et procure des revenus à environ 30 % de la population rurale », peut-on lire sur le site Internet du ministère de l’Elevage, des Pêches et des industries animales (Minepia).
Jadis, activité identitaire pour les éleveurs respectant les traditions, l'élevage connaît désormais l'intervention d'une nouvelle génération d'opérateurs en quête de revenus.
A savoir, les fonctionnaires, les jeunes diplômés chômeurs et les «hommes d'affaires». Selon la même source, le cheptel camerounais est pour la majeure partie constitué de bovins, d'ovins, de caprins, de porcins et de volaille. Mais l'élevage de nouvelles espèces animales comme le lapin, les aulacodes et le poisson voit progressivement le jour dans les différentes parties du pays.
Ainsi, tout comme pour l’agriculture, l’élevage est réparti au Cameroun par zones, en fonction des facteurs tels que le climat, le relief, la végétation, le milieu humain et les contraintes sanitaires.
Malgré ces diversités, l’offre nationale est insuffisante pour combler la demande sans cesse grandissante. Mais les publics ne restent pas les bras croisés et veulent inverser la tendance.
De nombreux projets et programmes sont ainsi mis en place pour à la fois intéresser davantage les populations, surtout les jeunes, mais aussi améliorer les rendements des exploitations en place, sinon les étendre en les modernisant.
Au ministère de l’Agriculture et du Développement rural par exemple, des initiatives sectorielles déclinées en projets ou programmes, portent des fruits progressivement.
Idem au ministère de l’Elevage, des Pêches et des Industries animales, notamment avec divers projets de développement de l’élevage bovin et piscicole ou aquacole. D’autres départements ministériels, à l’instar de celui en charge des PME et celui de l’Economie, ont des projets et programmes favorisant l’éclosion des activités agro-pastorales ou agro-industrielles à travers le pays.
A titre d’exemple le programme d’appui à la création et au développement des PME agricoles accompagne ces structures dans la transformation des produits du terroir, alors que le Programme Agropoles facilite la production et la facilitation des produits agricoles et d’élevage divers. Le tout générant des emplois directs et indirects en grand nombre.
L’accompagnement de l’Etat se fait également avec des acteurs réunis en coopératives, à travers des dons en intrants et matériels divers. Mais pour en arriver là, il faudrait avoir des notions des bases dans le domaine choisi.
D’où la création des centres de formations dans plusieurs localités du pays, qui accueillent des jeunes afin de leur donner des outils nécessaires à leur implication dans le développement économique du pays.
(Cameroon Tribune) Cacao, café, coton, banane, hévéa, palmier à huile, fruits divers, maïs, arachides, riz, pommes de terre, produits maraîchers… le Cameroun est une terre fertile où ces produits sont développés, à des fins de commercialisation, à l’intérieur ou à l’extérieur du pays,
à des fins de consommation locale ou à des fins de transformation. L’agriculture est d’ailleurs une activité que chaque Camerounais, d’une manière ou d’une autre pratique.
Mais sur le plan économique, selon les chiffres de l’Institut national de la Statistique (INS), l’agriculture a, au cours de l’année 2014, contribué pour 42% au produit intérieur brut du Cameroun.
Toujours d’après la même source, 57% de la population est rurale et l’agriculture occupe une place de choix dans une société tournée vers la consommation et pour laquelle elle emploie 70% de la population active. Des atouts suffisants pour en faire le secteur prioritaire de développement du pays.
Quant au secteur de l'élevage, il s'impose actuellement « comme une valeur sûre de l'économie camerounaise. Il participe ainsi pour près de 165 milliards de F à la formation du produit intérieur brut (PIB) et procure des revenus à environ 30 % de la population rurale », peut-on lire sur le site Internet du ministère de l’Elevage, des Pêches et des industries animales (Minepia).
Jadis, activité identitaire pour les éleveurs respectant les traditions, l'élevage connaît désormais l'intervention d'une nouvelle génération d'opérateurs en quête de revenus.
A savoir, les fonctionnaires, les jeunes diplômés chômeurs et les «hommes d'affaires». Selon la même source, le cheptel camerounais est pour la majeure partie constitué de bovins, d'ovins, de caprins, de porcins et de volaille. Mais l'élevage de nouvelles espèces animales comme le lapin, les aulacodes et le poisson voit progressivement le jour dans les différentes parties du pays.
Ainsi, tout comme pour l’agriculture, l’élevage est réparti au Cameroun par zones, en fonction des facteurs tels que le climat, le relief, la végétation, le milieu humain et les contraintes sanitaires.
Malgré ces diversités, l’offre nationale est insuffisante pour combler la demande sans cesse grandissante. Mais les publics ne restent pas les bras croisés et veulent inverser la tendance.
De nombreux projets et programmes sont ainsi mis en place pour à la fois intéresser davantage les populations, surtout les jeunes, mais aussi améliorer les rendements des exploitations en place, sinon les étendre en les modernisant.
Au ministère de l’Agriculture et du Développement rural par exemple, des initiatives sectorielles déclinées en projets ou programmes, portent des fruits progressivement.
Idem au ministère de l’Elevage, des Pêches et des Industries animales, notamment avec divers projets de développement de l’élevage bovin et piscicole ou aquacole. D’autres départements ministériels, à l’instar de celui en charge des PME et celui de l’Economie, ont des projets et programmes favorisant l’éclosion des activités agro-pastorales ou agro-industrielles à travers le pays.
A titre d’exemple le programme d’appui à la création et au développement des PME agricoles accompagne ces structures dans la transformation des produits du terroir, alors que le Programme Agropoles facilite la production et la facilitation des produits agricoles et d’élevage divers. Le tout générant des emplois directs et indirects en grand nombre.
L’accompagnement de l’Etat se fait également avec des acteurs réunis en coopératives, à travers des dons en intrants et matériels divers. Mais pour en arriver là, il faudrait avoir des notions des bases dans le domaine choisi.
D’où la création des centres de formations dans plusieurs localités du pays, qui accueillent des jeunes afin de leur donner des outils nécessaires à leur implication dans le développement économique du pays.
Commentaires
Enregistrer un commentaire