Vers la vulgarisation du « made in Cameroon »
Par Sorèle GUEBEDIANG, Cameroon Tribune, 12-06-2014
La présentation et l’appropriation du plan national de développement au cœur d’un atelier jeudià Yaoundé.
Grâce à cet outil, les créateurs pourront améliorer la qualité de leurs œuvres dans tous les domaines : santé, technologie, culture, divertissement. Et c’est en ce sens que la propriété intellectuelle reste un maillon important dans la créativité parce qu’elle permet de sauvegarder la capacité technique des inventeurs, si et seulement s’ils pensent à les labelliser sur le plan intellectuel et technologique. Au fil des ans, on constate que les moyens utilisés par les créateurs pour exprimer leur génie créatif sous d’autres cieux sont de plus en plus innovants. D’où l’explosion aussi bien des œuvres innovantes que de la demande. Cet arrimage aux normes est une nécessité pour les acteurs, qui de même doivent s’approprier de façon concertée le PNDPI. Ceci afin de mettre en place une synergie d’action permettant au gouvernement d’atteindre ses objectifs de développement de l’économie nationale.
C’est dans ce cadre que le ministre des Mines, de l’Industrie et du Développement technologique (Minmidt), Emmanuel Bonde, a présidé jeudi à Yaoundé l’atelier d’appropriation du PNDPI, en compagnie d’Ama Tutu Muna, ministre des Arts et de la Culture (Minac), pour ce qui est de la propriété littéraire et artistique,. Pour Emmanuel Bonde, il s’agit de relancer la créativité, de protéger les nouvelles inventions mises en place et les utiliser pour relancer le développement. « Nous avons dans nos habitudes traditionnelles des choses qu’on peut redécouvrir et adapter aux nouvelles technologies, pour relancer le développement. Ce qui veut dire que nous ne devons pas dormir sur nos lauriers, mais revaloriser ce que nous avons », a indiqué le ministre. A sa suite, Herman Tchato, directeur du département Afrique des projets spéciaux à l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI), a rappelé l’importance d’intégrer la propriété intellectuelle dans le processus de développement du pays, en ce sens qu’elle contribue entre autres à créer de la valeur ajoutée, à encourager la compétitivité et à créer des emplois. C’est pourquoi, il devient entre autres urgent de sensibiliser les acteurs concernés par la chaîne des valeurs, de renforcer leurs capacités humaines en matière de créativité, d’intensifier la protection et l’exploitation des actifs de la propriété intellectuelle, d’accroître la productivité en impulsant la diversification et la compétitivité des industries camerounaises, la promotion de la médecine traditionnelle, les œuvres littéraires, ainsi que les expressions culturelles du folklore pour que le label « made in Cameroon » prenne son envol.
La présentation et l’appropriation du plan national de développement au cœur d’un atelier jeudià Yaoundé.
Conscient
du rôle majeur que la propriété intellectuelle joue sur le
développement des économies des pays émergents, le Cameroun a mis sur
pied un Plan national de développement de la propriété intellectuelle
(PNDPI), couvrant la période 2014-2018.
Grâce à cet outil, les créateurs pourront améliorer la qualité de leurs œuvres dans tous les domaines : santé, technologie, culture, divertissement. Et c’est en ce sens que la propriété intellectuelle reste un maillon important dans la créativité parce qu’elle permet de sauvegarder la capacité technique des inventeurs, si et seulement s’ils pensent à les labelliser sur le plan intellectuel et technologique. Au fil des ans, on constate que les moyens utilisés par les créateurs pour exprimer leur génie créatif sous d’autres cieux sont de plus en plus innovants. D’où l’explosion aussi bien des œuvres innovantes que de la demande. Cet arrimage aux normes est une nécessité pour les acteurs, qui de même doivent s’approprier de façon concertée le PNDPI. Ceci afin de mettre en place une synergie d’action permettant au gouvernement d’atteindre ses objectifs de développement de l’économie nationale.
C’est dans ce cadre que le ministre des Mines, de l’Industrie et du Développement technologique (Minmidt), Emmanuel Bonde, a présidé jeudi à Yaoundé l’atelier d’appropriation du PNDPI, en compagnie d’Ama Tutu Muna, ministre des Arts et de la Culture (Minac), pour ce qui est de la propriété littéraire et artistique,. Pour Emmanuel Bonde, il s’agit de relancer la créativité, de protéger les nouvelles inventions mises en place et les utiliser pour relancer le développement. « Nous avons dans nos habitudes traditionnelles des choses qu’on peut redécouvrir et adapter aux nouvelles technologies, pour relancer le développement. Ce qui veut dire que nous ne devons pas dormir sur nos lauriers, mais revaloriser ce que nous avons », a indiqué le ministre. A sa suite, Herman Tchato, directeur du département Afrique des projets spéciaux à l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI), a rappelé l’importance d’intégrer la propriété intellectuelle dans le processus de développement du pays, en ce sens qu’elle contribue entre autres à créer de la valeur ajoutée, à encourager la compétitivité et à créer des emplois. C’est pourquoi, il devient entre autres urgent de sensibiliser les acteurs concernés par la chaîne des valeurs, de renforcer leurs capacités humaines en matière de créativité, d’intensifier la protection et l’exploitation des actifs de la propriété intellectuelle, d’accroître la productivité en impulsant la diversification et la compétitivité des industries camerounaises, la promotion de la médecine traditionnelle, les œuvres littéraires, ainsi que les expressions culturelles du folklore pour que le label « made in Cameroon » prenne son envol.
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