Extrême-Nord: Un plan pour relancer l’activité économique
(Cameroon Tribune) Sur très hautes instructions du président de la République, 1 300
projets ont été répertoriés pour servir de base au redémarrage des
activités plombées par les exactions de Boko Haram.
Selon Midjiyawa Bakari, le gouverneur de la région de l’Extrême-Nord, les combattants de la secte terroriste Boko Haram sont en déroute depuis plus de six mois. Six mois que la région vit dans l’accalmie.
Que ce soit sur le plan humanitaire, économique ou social, cette guerre imposée par les djihadistes
a eu de lourdes conséquences sur le développement de la région de l’Extrême-Nord.
C’est ce qui a amené le président de la République, Paul Biya, à commander la mise sur pied d’une sorte de « plan Marshall » au profit des populations de cette partie du pays. C’est la raison d’être de l’atelier de deux jours qui s’est tenu les 3 et 4 juillet 2018 au Cercle municipal de Maroua.
Une réunion présidée par le gouverneur de l’Extrême-Nord et à laquelle ont pris part, les élus locaux ainsi que les leaders traditionnels et les experts de divers domaines d’activités.
Au terme de cette première rencontre, les participants ont réfléchi sur les projets prioritaires susceptibles de permettre le relèvement et le développement de l’Extrême-Nord.
Dans un premier temps, il a été question de cibler les infrastructures et les équipements socioéconomiques directement affectés par la guerre et déterminer les modalités de la relance des activités socioéconomiques au bénéfice des populations sinistrées ; question d’améliorer leurs conditions de vie.
Lorsque ces actions prioritaires identifiées seront approuvées par le gouvernement, elles seront contenues dans un document qui servira de canevas des interventions dans la région, qu’elles proviennent des collectivités territoriales décentralisées, des partenaires techniques au développement ou des Ong et associations.
Bon à savoir, la mise en œuvre de ce document en chantier se fera de manière progressive sur la base des dotations budgétaires à affecter par le gouvernement et les appuis en provenance des partenaires au développement.
Selon Midjiyawa Bakari, le gouverneur de la région de l’Extrême-Nord, les combattants de la secte terroriste Boko Haram sont en déroute depuis plus de six mois. Six mois que la région vit dans l’accalmie.
Que ce soit sur le plan humanitaire, économique ou social, cette guerre imposée par les djihadistes
a eu de lourdes conséquences sur le développement de la région de l’Extrême-Nord.
C’est ce qui a amené le président de la République, Paul Biya, à commander la mise sur pied d’une sorte de « plan Marshall » au profit des populations de cette partie du pays. C’est la raison d’être de l’atelier de deux jours qui s’est tenu les 3 et 4 juillet 2018 au Cercle municipal de Maroua.
Une réunion présidée par le gouverneur de l’Extrême-Nord et à laquelle ont pris part, les élus locaux ainsi que les leaders traditionnels et les experts de divers domaines d’activités.
Au terme de cette première rencontre, les participants ont réfléchi sur les projets prioritaires susceptibles de permettre le relèvement et le développement de l’Extrême-Nord.
Dans un premier temps, il a été question de cibler les infrastructures et les équipements socioéconomiques directement affectés par la guerre et déterminer les modalités de la relance des activités socioéconomiques au bénéfice des populations sinistrées ; question d’améliorer leurs conditions de vie.
Lorsque ces actions prioritaires identifiées seront approuvées par le gouvernement, elles seront contenues dans un document qui servira de canevas des interventions dans la région, qu’elles proviennent des collectivités territoriales décentralisées, des partenaires techniques au développement ou des Ong et associations.
Bon à savoir, la mise en œuvre de ce document en chantier se fera de manière progressive sur la base des dotations budgétaires à affecter par le gouvernement et les appuis en provenance des partenaires au développement.
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