Reflexe réseau: Qui s’assemble se ressemble
Par Lise Cardinal
Êtes-vous du type réseauteur stratégique… ou amateur ? L’année 2016 est peut-être le bon moment pour passer aux ligues majeures.
J’ai
toujours associé le réseautage à la danse, en raison de l’interaction
qu’elle suppose. Je constate toutefois que de plus en plus de gens
dansent seuls. J’ai donc décidé de modifier mon analogie.
Je me rends compte que le réseautage est un peu comme un sport et qu’il est des types de réseauteurs
comme des types de sportifs.
Comme pour le réseautage, il y a, grosso modo, deux types de sportifs – skieurs, golfeurs, cyclistes ou autres.
L’amateur
Bien qu’il soit équipé comme un pro, l’amateur ne pratique son sport que quelques heures par saison. C’est l’aspect social du sport qui l’intéresse. Il fait du mieux qu’il peut avec le peu de techniques qu’il possède et ça lui suffit. Il ne souhaite pas aller plus loin.
L’amateur se demande souvent pourquoi il est toujours le dernier invité. Dans les faits, l’intérêt pour son sport est trop faible pour qu’il s’y investisse pleinement et cherche à s’améliorer.
Le stratégique
Le deuxième sportif se perçoit comme un athlète. Il aspire à faire bonne figure, à se démarquer et à briller. Ambitieux et ouvert, il sait repérer les gens avec lesquels il souhaite jouer ou faire équipe.
Le stratégique se rapproche naturellement de ceux qui pourront l’inviter dans de nouveaux cercles. Pour ce faire, il s’investit : cours, ateliers, forums Web, groupes dans les réseaux sociaux. Bref, il fait ce qu’il faut pour s’améliorer.
Comme tous les sportifs qui visent la performance, il n’a pas vraiment d’atomes crochus avec les « amateurs » qui pratiquent leur sport en dilettante.
Il va naturellement vers ceux qui partagent l’information, monnaie d’échange du réseautage. Et il essaie de communiquer aux autres tout ce qu’il sait sur les clubs à fréquenter, le dernier équipement sur le marché, etc. Bref, qui s’assemble se ressemble !
Voyez-vous où je veux en venir ? Dans les activités de réseautage, on rencontre les deux types : le réseauteur amateur et le réseauteur stratégique.
L’amateur
Comme notre sportif de tout à l’heure, le premier aime « rencontrer des gens », sans objectif précis. Il vient « faire du social » comme on dit souvent.
Il distribue ses cartes professionnelles à tout vent, parle de la météo et des bouchons de circulation. Rien là pour fournir de la nouvelle information.
Le réseauteur amateur rentre ensuite chez lui, heureux d’avoir passé un bon moment, d’avoir vu de nouveaux visages… et la vie continue.
Pourtant, c’est souvent lui qui se plaint haut et fort que « sa carte de membre » ne lui a rien rapporté. S’il a de la chance, il rencontrera un jour une personne qui offre justement le service dont il avait besoin cette semaine-là. Et il en conclura que c’est le « résultat de son réseautage. »
Le stratégique
Responsable et curieux, toujours à l’écoute et informé, il observe, écoute et voit les gens et les événements selon une perspective plus large. Il sait poser les bonnes questions qui génèrent connaissance d’autrui et information utile.
Celui-là a compris qu’on sème avant de récolter, et que pour recevoir, il faut d’abord donner.
Il prend le temps d’établir des liens avec les gens avant de les solliciter. Il est enthousiaste et proactif. Il ne gaspille pas son temps à réagir aux critiques négatives et se concentre sur la poursuite de sa vision et la construction de son réseau.
Le réseauteur statégique partage ses ressources et son savoir. Il cherche des façons appropriées et originales de donner, d’aider et d’informer sans attendre de retour. Il sait remercier et partager les feux de la rampe. Il est généreux de ses remerciements.
Alors, dans quel camp vous situez-vous ?
Je me rends compte que le réseautage est un peu comme un sport et qu’il est des types de réseauteurs
comme des types de sportifs.
Comme pour le réseautage, il y a, grosso modo, deux types de sportifs – skieurs, golfeurs, cyclistes ou autres.
L’amateur
Bien qu’il soit équipé comme un pro, l’amateur ne pratique son sport que quelques heures par saison. C’est l’aspect social du sport qui l’intéresse. Il fait du mieux qu’il peut avec le peu de techniques qu’il possède et ça lui suffit. Il ne souhaite pas aller plus loin.
L’amateur se demande souvent pourquoi il est toujours le dernier invité. Dans les faits, l’intérêt pour son sport est trop faible pour qu’il s’y investisse pleinement et cherche à s’améliorer.
Le stratégique
Le deuxième sportif se perçoit comme un athlète. Il aspire à faire bonne figure, à se démarquer et à briller. Ambitieux et ouvert, il sait repérer les gens avec lesquels il souhaite jouer ou faire équipe.
Le stratégique se rapproche naturellement de ceux qui pourront l’inviter dans de nouveaux cercles. Pour ce faire, il s’investit : cours, ateliers, forums Web, groupes dans les réseaux sociaux. Bref, il fait ce qu’il faut pour s’améliorer.
Comme tous les sportifs qui visent la performance, il n’a pas vraiment d’atomes crochus avec les « amateurs » qui pratiquent leur sport en dilettante.
Il va naturellement vers ceux qui partagent l’information, monnaie d’échange du réseautage. Et il essaie de communiquer aux autres tout ce qu’il sait sur les clubs à fréquenter, le dernier équipement sur le marché, etc. Bref, qui s’assemble se ressemble !
Voyez-vous où je veux en venir ? Dans les activités de réseautage, on rencontre les deux types : le réseauteur amateur et le réseauteur stratégique.
L’amateur
Comme notre sportif de tout à l’heure, le premier aime « rencontrer des gens », sans objectif précis. Il vient « faire du social » comme on dit souvent.
Il distribue ses cartes professionnelles à tout vent, parle de la météo et des bouchons de circulation. Rien là pour fournir de la nouvelle information.
Le réseauteur amateur rentre ensuite chez lui, heureux d’avoir passé un bon moment, d’avoir vu de nouveaux visages… et la vie continue.
Pourtant, c’est souvent lui qui se plaint haut et fort que « sa carte de membre » ne lui a rien rapporté. S’il a de la chance, il rencontrera un jour une personne qui offre justement le service dont il avait besoin cette semaine-là. Et il en conclura que c’est le « résultat de son réseautage. »
Le stratégique
Responsable et curieux, toujours à l’écoute et informé, il observe, écoute et voit les gens et les événements selon une perspective plus large. Il sait poser les bonnes questions qui génèrent connaissance d’autrui et information utile.
Celui-là a compris qu’on sème avant de récolter, et que pour recevoir, il faut d’abord donner.
Il prend le temps d’établir des liens avec les gens avant de les solliciter. Il est enthousiaste et proactif. Il ne gaspille pas son temps à réagir aux critiques négatives et se concentre sur la poursuite de sa vision et la construction de son réseau.
Le réseauteur statégique partage ses ressources et son savoir. Il cherche des façons appropriées et originales de donner, d’aider et d’informer sans attendre de retour. Il sait remercier et partager les feux de la rampe. Il est généreux de ses remerciements.
Alors, dans quel camp vous situez-vous ?
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