20 projets financés par la Banque mondiale au Cameroun
Le portefeuille de l'institution de Bretton Woods est en revue à
Yaoundé. Extrait du discours d'ouverture de la directrice des opérations
de la Banque mondiale au Cameroun, Elisabeth Huybens.
"Le portefeuille actif de la Banque mondiale comporte 14 projets nationaux et 6 régionaux d’un âge moyen de 4.5 ans pour un montant total d’environ un milliard trois cent trente-huit millions de dollars américains (1,338 millions USD). Ce portefeuille est d’une importance indéniable dans la perspective de l’atteinte de l’objectif global du DSCE, à savoir un Cameroun émergent en 2035. En intervenant dans les secteurs aussi divers que l’énergie, les transports, le développement rural, l’assainissement, l’éducation, les filets sociaux et la santé nous voulons marquer notre engagement auprès du Cameroun pour une réduction substantielle de la pauvreté à travers un taux de croissance soutenu et inclusif. Cet engagement se trouvera considérablement renforcé avec les projets en cours de préparation d’une enveloppe globale de près d’un milliard de dollars US. Il s’agit notamment des projets : - de densification du réseau de transport de l’électricité
- du barrage hydroélectrique de Nachtigal,
- du développement hydroélectrique sur le fleuve Sanaga,
- de réhabilitation et du renforcement de la sécurité sur la route Bafoussam-Bamenda et dans 4 aéroports du Cameroun
- de santé
- d’élevage et de villes inclusives
Nous nous réjouissons du renforcement du partenariat entre le Cameroun et la Banque mondiale et souhaitons continuer sur cette lancée.
Particulièrement en cette période délicate pour le Cameroun où le budget subit de fortes pressions du fait de la baisse du prix du baril de pétrole, de l’effort requis pour répondre à la situation d’insécurité dans l’Extrême Nord et à l’Est, ainsi qu’à l’accueil d’un nombre sans cesse croissant de réfugiés et déplacés dans ces régions.
Dans la perspective d’un accroissement du soutien de la Banque mondiale, il est crucial que la mise en œuvre des projets se fasse dans les délais convenus, de manière satisfaisante et que les objectifs de développement soient atteints. En effet, une mise en œuvre lente des projets, signifie un ralentissement de la croissance et de la lutte contre la pauvreté.
Mais surtout cela empêche la préparation de nouveaux projets de développement, ce qui représente une véritable perte pour le pays."
Source: Cameroon tribune
"Le portefeuille actif de la Banque mondiale comporte 14 projets nationaux et 6 régionaux d’un âge moyen de 4.5 ans pour un montant total d’environ un milliard trois cent trente-huit millions de dollars américains (1,338 millions USD). Ce portefeuille est d’une importance indéniable dans la perspective de l’atteinte de l’objectif global du DSCE, à savoir un Cameroun émergent en 2035. En intervenant dans les secteurs aussi divers que l’énergie, les transports, le développement rural, l’assainissement, l’éducation, les filets sociaux et la santé nous voulons marquer notre engagement auprès du Cameroun pour une réduction substantielle de la pauvreté à travers un taux de croissance soutenu et inclusif. Cet engagement se trouvera considérablement renforcé avec les projets en cours de préparation d’une enveloppe globale de près d’un milliard de dollars US. Il s’agit notamment des projets : - de densification du réseau de transport de l’électricité
- du barrage hydroélectrique de Nachtigal,
- du développement hydroélectrique sur le fleuve Sanaga,
- de réhabilitation et du renforcement de la sécurité sur la route Bafoussam-Bamenda et dans 4 aéroports du Cameroun
- de santé
- d’élevage et de villes inclusives
Nous nous réjouissons du renforcement du partenariat entre le Cameroun et la Banque mondiale et souhaitons continuer sur cette lancée.
Particulièrement en cette période délicate pour le Cameroun où le budget subit de fortes pressions du fait de la baisse du prix du baril de pétrole, de l’effort requis pour répondre à la situation d’insécurité dans l’Extrême Nord et à l’Est, ainsi qu’à l’accueil d’un nombre sans cesse croissant de réfugiés et déplacés dans ces régions.
Dans la perspective d’un accroissement du soutien de la Banque mondiale, il est crucial que la mise en œuvre des projets se fasse dans les délais convenus, de manière satisfaisante et que les objectifs de développement soient atteints. En effet, une mise en œuvre lente des projets, signifie un ralentissement de la croissance et de la lutte contre la pauvreté.
Mais surtout cela empêche la préparation de nouveaux projets de développement, ce qui représente une véritable perte pour le pays."
Source: Cameroon tribune
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