Energie et Environnement: La corruption est "l'ennemi public n°1", selon la Banque mondiale
Par leschos.fr, 19-12-2013
En 1996, la Banque mondiale était pour la première fois montée au créneau contre la corruption, estimant qu'elle était un "cancer" pour les pays pauvres.
"Le cancer peut être guéri", a estimé M. Kim.
Le nombre de sanctions prises par l'institution contre des entreprises soupçonnées de malversation est en pleine expansion, selon l'étude d'un cabinet privé publié mi-septembre. >>>
Le président de la Banque mondiale Jim Yong Kim a estimé jeudi que la corruption était "l'ennemi public numéro 1" pour les pays en développement.
"Dans le monde en développement, la corruption est
l'ennemi public numéro 1", a déclaré M. Kim lors d'une conférence au
siège de la Banque mondiale à Washington.
"Chaque dollar qu'un dirigeant ou qu'un entrepreneur corrompu empoche est un dollar volé à une femme enceinte qui a besoin de soins ou à une à fille ou à un garçon qui mérite d'avoir accès à une éducation", a-t-il assuré.
Selon M. Kim, le secteur privé doit "faire partie de la solution".
"Les
entreprises pétrolières, gazières et minières dévoilent de plus en plus
la nature de leurs contrats avec les gouvernements", a-t-il estimé,
assurant que cela donnait une "chance" de surveiller leurs pratiques et
celles des autorités."Chaque dollar qu'un dirigeant ou qu'un entrepreneur corrompu empoche est un dollar volé à une femme enceinte qui a besoin de soins ou à une à fille ou à un garçon qui mérite d'avoir accès à une éducation", a-t-il assuré.
Selon M. Kim, le secteur privé doit "faire partie de la solution".
En 1996, la Banque mondiale était pour la première fois montée au créneau contre la corruption, estimant qu'elle était un "cancer" pour les pays pauvres.
"Le cancer peut être guéri", a estimé M. Kim.
Le nombre de sanctions prises par l'institution contre des entreprises soupçonnées de malversation est en pleine expansion, selon l'étude d'un cabinet privé publié mi-septembre. >>>
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