Technopole agro-industriel de Ouassa-Babouté: le site sécurisé
(Cameroon Tribune)Le ministre en charge de l'industrie, Ernest Gbwaboubou est descendu jeudi dernier sur le terrain.
Le ministre de l’Industrie, des Mines et du Développement technologique (Minmidt), Ernest Gbwaboubou, a procédé jeudi dernier, à la pose de la première borne du site devant abriter le parc technologique agro-industriel du Cameroun à Ouassa-Babouté par Nkoteng.
Il est question comme
l’a précisé le Minmidt, de sécuriser cette zone de près de 540 hectares qui portera cet important projet initié par le gouvernement et dont l’investissement est estimé à 120 milliards de F.
L’on apprend que deux types de filières y seront développés. Le premier concerne la filière agricole avec notamment les graines et céréales, tubercules et plantains, fruits et légumes. On compte également les huiles essentielles, produits carnés et halieutiques, les laits et dérivés ainsi que la transformation du cacao.
Pour ce qui est du deuxième type, il s’agit de la logistique d’accompagnement en l’occurrence la chaîne de froid et de conditionnement, les emballages et matériaux de l’agro-industrie et les énergies renouvelables.
Dans la même liste, on retrouve la métrologie agro-industrielle et les sous-produits et équipements de l’agro-industrie. On note que les bénéficiaires de ce projet d’une durée de cinq ans se recrutent parmi les agriculteurs, les PME et PMI.
Pour ce qui est du choix porté sur cette zone, Ernest Gbwaboubou parle de l’espace existant sur cette zone. Autres avantages, elle se situe aux confins de trois régions avec de nombreux départements. On compte également sa proximité avec le chemin de fer et le fleuve de Sanaga.
Josy Mauger
Le ministre de l’Industrie, des Mines et du Développement technologique (Minmidt), Ernest Gbwaboubou, a procédé jeudi dernier, à la pose de la première borne du site devant abriter le parc technologique agro-industriel du Cameroun à Ouassa-Babouté par Nkoteng.
Il est question comme
l’a précisé le Minmidt, de sécuriser cette zone de près de 540 hectares qui portera cet important projet initié par le gouvernement et dont l’investissement est estimé à 120 milliards de F.
L’on apprend que deux types de filières y seront développés. Le premier concerne la filière agricole avec notamment les graines et céréales, tubercules et plantains, fruits et légumes. On compte également les huiles essentielles, produits carnés et halieutiques, les laits et dérivés ainsi que la transformation du cacao.
Pour ce qui est du deuxième type, il s’agit de la logistique d’accompagnement en l’occurrence la chaîne de froid et de conditionnement, les emballages et matériaux de l’agro-industrie et les énergies renouvelables.
Dans la même liste, on retrouve la métrologie agro-industrielle et les sous-produits et équipements de l’agro-industrie. On note que les bénéficiaires de ce projet d’une durée de cinq ans se recrutent parmi les agriculteurs, les PME et PMI.
Pour ce qui est du choix porté sur cette zone, Ernest Gbwaboubou parle de l’espace existant sur cette zone. Autres avantages, elle se situe aux confins de trois régions avec de nombreux départements. On compte également sa proximité avec le chemin de fer et le fleuve de Sanaga.
Josy Mauger
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