Difficultés en Zone franc: des pistes de sortie de crise
(Cameroon Tribune) Parmi celles évoquées hier à Paris par les ministres des finances,
les gouverneurs des banques centrales et les présidents des institutions
régionales, l’élargissement des assiettes fiscales.
Les ministres des Finances, les gouverneurs de banques centrales et les présidents des institutions régionales de la zone franc, étaient réunis hier à Paris autour de Bruno Le Maire, ministre français de l’Economie et des Finances
dans le cadre de leur rencontre semestrielle. Au menu des travaux, l’examen de la situation macroéconomique dans les 14 pays ayant en partage le franc CFA, et l’Union des Comores.
Ce n’est plus un secret, l’Afrique centrale connaît des difficultés économiques et financières depuis quelques années. Et pour y faire face, les pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC), ne lésinent pas sur les efforts. C’est dans cette optique que quatre d’entre eux ont conclu un programme avec le Fonds monétaire international (FMI), pour trois ans. Les participants à cette rencontre ont également débattu des modalités d’une mobilisation plus accrue des recettes fiscales non-pétrolières. Il s’agit notamment de l’élargissement des assiettes fiscales, et du renforcement de la transparence et des capacités des administrations. L’harmonisation de certaines règles sous régionales et la bonne coopération pourraient également être utiles pour « un relèvement de la pression fiscale, permettant une dynamique favorable d’investissement et évitant un réendettement rapide », peut-on lire dans le communiqué de presse rendu public à la fin des travaux de Bercy. Selon des informations puisées à bonne source, 24 mesures ont été prises pour mieux appréhender la situation.
Et quand on voit la situation en Afrique de l’Ouest, l’espoir d’une embellie est permis. En effet, l’UEMOA se porte mieux que la CEMAC. En Afrique de l’Ouest la croissance devrait se maintenir à 6% à l’horizon 2020. « Bien au-dessus de la croissance moyenne des pays africains », indique le même communiqué de presse. Lequel précise que cette bonne performance est induite par le fait que tous les pays membres de l’UEMOA ont conclu un programme avec le FMI. Un programme qui contribue au renforcement de la gestion budgétaire et à la coordination des réformes mises en œuvre.
Les ministres des Finances, les gouverneurs de banques centrales et les présidents des institutions régionales de la zone franc, étaient réunis hier à Paris autour de Bruno Le Maire, ministre français de l’Economie et des Finances
dans le cadre de leur rencontre semestrielle. Au menu des travaux, l’examen de la situation macroéconomique dans les 14 pays ayant en partage le franc CFA, et l’Union des Comores.
Ce n’est plus un secret, l’Afrique centrale connaît des difficultés économiques et financières depuis quelques années. Et pour y faire face, les pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC), ne lésinent pas sur les efforts. C’est dans cette optique que quatre d’entre eux ont conclu un programme avec le Fonds monétaire international (FMI), pour trois ans. Les participants à cette rencontre ont également débattu des modalités d’une mobilisation plus accrue des recettes fiscales non-pétrolières. Il s’agit notamment de l’élargissement des assiettes fiscales, et du renforcement de la transparence et des capacités des administrations. L’harmonisation de certaines règles sous régionales et la bonne coopération pourraient également être utiles pour « un relèvement de la pression fiscale, permettant une dynamique favorable d’investissement et évitant un réendettement rapide », peut-on lire dans le communiqué de presse rendu public à la fin des travaux de Bercy. Selon des informations puisées à bonne source, 24 mesures ont été prises pour mieux appréhender la situation.
Et quand on voit la situation en Afrique de l’Ouest, l’espoir d’une embellie est permis. En effet, l’UEMOA se porte mieux que la CEMAC. En Afrique de l’Ouest la croissance devrait se maintenir à 6% à l’horizon 2020. « Bien au-dessus de la croissance moyenne des pays africains », indique le même communiqué de presse. Lequel précise que cette bonne performance est induite par le fait que tous les pays membres de l’UEMOA ont conclu un programme avec le FMI. Un programme qui contribue au renforcement de la gestion budgétaire et à la coordination des réformes mises en œuvre.
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